11.12.07

cette ville c´est une merde encore... parce que il n´y a pas acune rue qu´il s´apelle avec toi...


quelqu´an a dit que de temps en temps il été mailleur lire le manuel instructif

22.6.07

une autre histoire de l´amour


c'est un jour parfait, entouré par des bidons et la pluie, améliorent loin quand je scie à la mine avant… alors nerveuse je me sens… mon moteur ai été accéléré, imaginé que l'existia du coup de foudre pas. je continue accélérant et était ainsi chaque fois mais à côté… alors de celui je m'observe… si et l'extendi arrêté juste là… mes bras et…
aucun était mais heureux…
parce que puis j´entends que nous sommes simples deux ont motorisé des bidons et que ce emmènent nous étreignent aux puits…






la vapeur du radiateur opaque mes yeux… mais lui a passé le temps et elle a observé pendant qu'une grue se déplaçait loin du mon… plus tard je rampent et pas encore si volvere pour le voir.








un chien est identique



je déteste la brutalité. il n'est pas efficace. et en outre, les mauvais traitements prolongés, sans arriver à la violence physique, cause, s'ils sont appliqués convenablement, afflige et un sentiment spécial de défaut… que quelques normes doivent avoir elles mêmes la propriété en possession, ou de meilleures directives d'idées… le sujet ne doit pas se rendre compte dont les mauvais traitements sont une attaque délibérée contre leur identité de la part d'un ennemi anti-humain… doivent le lui faire estimer que n'importe quel traitement qui le reçoit l'a ou mérite parce qu'il y a quelque chose (jamais précis) horrible dans lui ce coupable fait à lui.

rien pour nous arrêter




- l'amour est la seule chose qui peut sauver cette pauvre créature, je convaincra au monde qui rien n'est toujours mauvais… au coût de ma propre vie… dont ils écoutent là à l'intérieur, n'importe comment beaucoup je maudissent ou le cri n'ouvre pas cette porte ou la jettera pour perdre tout travail que j'ai fait. comprend ? n'ouvre pas cette porte !


- si docteur.


- c'était un goût il avoir su.


- me laissent partir, me laissent sortir… par tout laissent de diables à partir ! … ce qui se produit avec toi ? … il a seulement plaisanté, ne sait pas pour distinguer une plaisanterie ? … he he he… jésus le christ ! … me sortent d'ici ! … ! ouvrir cette fichue porte ou je donnerai un coup de pied les fesses à eux ! … mami !

doppelganger



à la maison… Je n'ai aucune maison persécutée et dédaignée…, vivant comme un animal, la jungle est mon seulement à la maison. mais maintenant je démontrerai au monde que je peux être son maître, je que je perfectionnerai ma propre race humaine ; ¡une course des surhommes atomiques qui va conquérir le monde!

alors le fiance du monstre elle se transformer.

l'imaginaire, c'est ce qui tend à devenir réel.




vous n'avez aucune existence à moins que car mon outil… l'individu n'en a pas être à moins que dans la mesure dans laquelle l'individu est la pièce d'une machine… ne soit rien ; la machine est lui tout.



il est nécessaire que la première impression de tout le demeure pour toujours, pour essayer d'aller à la profondeur des choses, ne mène pas l'endroit d'aningun.

un peu de la robotique



- qu´est ce que vous est la psychologue de US Robots
¿pas vrai?


- robopsychologe, s´il vous plaît


-¡oh! ¿si mentalements sont différents les hommes des robots?


- mondes différents. les robots sont essentiellement honnêtes.

dans la boîte le vieux cobaye, mettant à l'essai sa capacité intellectuelle, sa patience, ses qualifications… principalement… son expérience.

18.3.07



comenzar por tocar las heridas...

el final...

restos de caca sobre el cuchillo de la mantequilla, es lo unicoq ue dejo al marcharse...